Mon métier de décoratrice d’intérieur : vos questions
Mon métier de décoratrice d’intérieur : vos questions
Le métier de décoratrice d’intérieur plait. Il fait rêver. De plus en plus de monde s’y intéresse. Certains pensent même à se reconvertir. C’est ce que j’ai fait en 2020. Et j’ai lancé mon entreprise en 2021. Chaque année, je reçois des e-mails ou des messages pour discuter de mon parcours, de mes difficultés, et des engagements que nécessite le métier de décoratrice d’intérieur.
Il est maintenant temps d’en faire un article ! Ici, je partage mon point de vue et mon expérience personnelle. Si tu es intéressée par le métier de décoratrice d’intérieur, tu es au bon endroit pour en découvrir un peu plus. Et bien sûr, croise ces informations avec celles d’autres de mes collègues ! C’est toujours intéressant.
Je parlerai dans cet article en employant le genre féminin, car la plupart de mes demandes sur le métier proviennent essentiellement de femmes. Et j’adopterai également le « tu ».
Quel est ton parcours ?
Qu’est-ce qui t’a motivée à te reconvertir ?
As-tu réalisé des stages dans le cadre de ta reconversion ?
Quelles difficultés potentielles as-tu rencontrées ? Dans la reconversion en tant que telle, au sein de la formation, en découvrant le métier ou autre ?
Quels types de projets traites-tu : particuliers vs tertiaire, projet déco vs maitrise d’œuvre ?
Aujourd’hui quels sont, selon toi, les plus et les moins de ton métier ?
- Que chaque projet est différent. Même si le processus de travail reste le même, les problématiques et la vision de chacun de mes clients ne sont jamais identiques.
- La liberté de gestion : mes horaires, mes tâches, mes projets
- Que ça mêle créativité et normes. Il y a une part d’artistique et pour autant, il y a des règles à respecter. On ne va pas mettre par exemple n’importe quelle lampe à 20 cm du pommeau de douche !
Pour les moins :
- Rien n’est jamais sûr. Nous n’avons pas un métier essentiel. Avoir une belle déco pour se sentir bien, c’est bien. Mais si on reste pragmatique, pour bien dormir, il faut un lit. Qu’il soit beau ou non, c’est juste un lit.
- Notre métier n’offre pas nécessairement de récurrence. Dans le sens où souvent, quand un projet se termine avec un client, cela s’arrête là. Il n’y a pas de « maintenance » à faire. Donc il faut savoir chercher de façon continue les clients pour que l’activité puisse tourner.
- La possibilité de se sentir seule, coupée du monde. Surtout si on travaille seule et de chez soi. On voit moins de monde. On parle littéralement moins. Le quota social peut être relativement diminué. D’où aussi le fait de savoir bien s’entourer.
Quelles sont les compétences nécessaires pour réussir dans ce métier ?
Prends-tu des stagiaires ou des alternants ?
As-tu des conseils pour devenir décoratrice d’intérieur ?
- être créative,
- comprendre la psychologie
- aimer l’adaptabilité.
- être créative,
- comprendre la psychologie
- aimer l’adaptabilité.
- assumer le fait d’être (son propre) patron.
Pour autant, sois toi-même.